L’oie-seau-vage
Des lyres de sens... délires de mots...
L’oie-seau-vage flotte sur les eaux du lac d’en-gains du casino bruyant de ses jeux d’art gens si cupides. Mais l’oie s’en tamponne le bec dans l’eau en quête d’aliments à déglutir... bascule, bas-cul de la tête dans l’eau, le cul en l’air pour plonger plus loin son long cou de palmes qui l’a fait avancer dignement sur l’eau. Bruit de jeux, bruits de fêtes, bruits d’hommes sans têtes qui pensent sans pensées leurs blés sur l'air beu à fumer... Quel intérêt sans l’autre, lent-deux mains qui pourraient les prendre par le coup pour les emmener aux gars-voir d’oies gourmant de foie-re où s’amuser de tout. Même d’une oie-sans-dré-de-loque du rat stagnant dans l’os croupie du coin des cas nard-cotiques pédalant à deux sans savoir d’où vient le cygne qui donne le sens-à bris de glace du lac refroidie qui se morfond la nuit venue dans son coincoin, si lent si eux ne veulent l’entendre ni voir lequel poux rat masser les eaux tendues. Oublié de tous il la voit, l’oie-seau-vage à l’âme qui sans nuit de ne rien faire à tendant le coup l’aube venue pour cacarder en prenant son en voilure des bateaux s’élançant sur les vagues du la que survole l’oie-seau-vage par temps couvert de nouvelles contrées.